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Prise de force

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Prise de force
Sunday 13 October 2024 18:12

Utilisateur anonyme
Ce forum "Ce qui m'excite", peut nous servir à raconter nos fantasmes.

Alors, je vais vous raconter un de mes fantasmes les plus puissants: être prise de force, violée, quoi.
Ce sera un très long texte en beaucoup d'épisodes, et il faudra me dire si il vous plaît et si vous voulez connaître la suite.

« Ils m'ont tout de suite annoncé ce qui m'attendait …
- On va t'baiser, salope ! -
- On va tous te passer d'ssus ! -
- T'avais qu'à pas avoir le cul à l'air en remontant d'la dune ! -
- Tu nous as chauffés ? On va t'bourrer l'cul !
- Tu veux d'la bite ? Tu vas en avoir, d'la bite !
- Hé hé héééé ! Même si t'en veux pas, d'la bite, nous, on va t'en donner !
- Tu vas voir, ça va t'plaire, grosse pute !

Pas d'éclats de voix … ils ont parlé doucement pour ne pas risquer d'être entendus des bungalows voisins.

Un court instant, je me suis demandé s'ils avaient bien vu à qui ils avaient à faire, s'ils s'étaient rendus compte que je suis un mec, un mec habillé en femme, mais un mec quand même. Et oui, ils ont bien vu … l'un d'eux a demandé:
- Hé, les mecs, vous vous êtes déjà fait un travelo ?
- Ouais, ça sera pas l'premier, pour moi.

Qu'est-ce qui m'a pris de remonter de la dune dans cette tenue ? J'avais bronzé à poil pendant deux heures, bien abritée des regards dans ce creux de dune. J'entendais, en contrebas, les cris et les rires des baigneurs et les mômes qui jouaient sur la plage. Le soleil m'avait bien échauffée et, plutôt que de nouer mon drap de bain autour de ma taille pour regagner le camping, j'ai enfilé la petite robe ultra courte et ultra moulante qui traînait au fond de mon sac. Et rien dessous, évidemment, le cul et la bite à l'air. Je me disais que ce serait bien le diable si quelqu'un m'apercevait sur le court trajet entre la dune et mon bungalow.

Mon bungalow est implanté juste au ras de la triple rangée de fil de fer qui marque la limite du camping … le Camping des Dunes, évidemment, puisqu'il est mitoyen de celles-ci. Jusque là, je n'avais encore jamais croisé personne dans ce coin. Et à cette heure de l'après-midi, entre ceux qui font la sieste dans leur tente ou leur bungalow, et ceux qui sont sur la plage, je sais que le camping est quasiment désert. Ces types m'ont donc certainement vue quand je suis remontée de mon creux de dune. Ils m'ont peut-être vue aussi quand je bronzais … depuis la limite du camping, on a une vue plongeante sur la dune, et c'est comme ça que j'ai repéré ce creux dans lequel j'ai pris mon bain de soleil. Dans ce cas, ça voudrait dire qu'ils m'auraient vue depuis le camping … et qu'ils auraient attendu que je remonte ! Mais alors … comment ont-ils su que j'allais remonter vers le camping ? Moi, je ne les ai ni vus ni entendus. Ou alors, ils se baladaient dans les dunes à la recherche d'une opportunité, ils m'ont vue et ils m'ont suivie, Dans ce cas, ils ont pris le même chemin que moi, ils sont passés comme moi entre les rangées de fil de fer, ils sont entrés après moi dans mon bungalow, et sans bruit, ils m'ont sauté dessus quand je me suis allongée sur mon lit sans avoir pris la peine d'ôter ma micro robe.

J'étais allongée sur le ventre, les yeux fermés. Quand ils m'ont assaillie, l'un d'eux a tout de suite plaqué sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier, pendant que les autres me saisissaient les bras et les jambes. Les blacks qui m'ont violée la première fois avaient fait exactement comme ça ! Les types d'aujourd'hui ont ensuite glissé un bâillon sous la main qui me fermait la bouche, ils ont noué un autre bout de tissu sur mes yeux et ils m'ont lié poignets et chevilles avec des cordes. Mais d'où ils ont sorti ces bouts de tissu et ces liens ? Pas dans mon bungalow, en tout cas. Ils devaient avoir ça avec eux. Pour être équipés comme ça, c'est qu'ils étaient partis en chasse avec l'idée de forcer quelqu'un !

Non seulement ils m'ont attaché les chevilles et les poignets, mais maintenant, ils me les tiennent fermement … sans doute un type à chaque main et un type à chaque pied … j'ai beau essayer de tirer sur les liens qui enserrent mes poignets, j'ai beau de tortiller dans tous les sens, impossible de bouger … je me sens impuissante … alors le cinquième type va pouvoir me baiser, il vient de le dire. Oui, parce qu'ils sont cinq. Dans la brève lutte qui a suivi leur intrusion, j'ai juste eu le temps de les compter. Et je crois en avoir reconnu deux ou trois. Ce sont des types qui ont travaillé à la réfection de la chaussée au-dessus du ruisseau. J'ai bien vu, ils portent leurs vêtements de travail orange avec des bandes réfléchissantes. Ça fait une dizaine de jours qu'ils sont là. Je les avais remarqués … en tout, une équipe d'une dizaine d'ouvriers. Des gens dans le camping se plaignaient d'eux parce qu'ils sifflaient les femmes et les gamines et leur tenaient des propos graveleux. Ce matin, j'ai vu que le chantier était presque terminé et que les machines étaient parties avec une partie des ouvriers. Et ils n'étaient plus qu'une poignée en train de nettoyer la route ... sûrement ceux qui sont là maintenant.

à suivre ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/10/24 18:14 par SoloseXe.
Re: Prise de force
Monday 14 October 2024 10:41

Utilisateur anonyme
2ème partie:

« Comme si me ligoter et me tenir ne suffisait pas, le type qui cramponne mon poignet droit a aussi posé son genou sur mon omoplate. Et les deux qui me tiennent les chevilles m'écartent largement les jambes. Mes efforts pour les resserrer ne servent à rien, je suis complètement ouverte, écartelée … à leur merci ! Curieusement, ce à quoi je pense, la première chose qui m'a préoccupée, c'est que, dans cette position, je suis totalement impudique, indécente, mes fesses et ma chatte livrées à leurs regards … et ma bite aussi, évidemment. Et il m'a fallu faire un effort pour réaliser qu'en fait, mes fesses, ma chatte étaient offertes et livrées à bien autre chose que leurs regards … A LEURS SEXES !

Une fois réduite à l'impuissance, il ne m'est plus resté que les bruits pour comprendre ce qu'ils faisaient …

- Qui c'est qui lui passe dessus en premier ?

Bruit caractéristique d'un zip qu'on descend … une braguette qu'on ouvre ?

- Moi ! Moi ! Regarde, j'suis déjà raide ! Faut que j'me vide les couilles vite fait ! Tenez-la, empêchez-la d'bouger, c'te salope !

Choc sourd de lourdes chaussures tombant sur le plancher de ma chambre … froissement particulier du tissu de ces vêtements de travail … presque un crissement … un des types est en train de se déshabiller. J'essaie d'imaginer ce type à poil, avec sa bite qui bande et qu'il va bientôt me … Je sais ce qui va m'arriver, ils me l'ont dit dès qu'ils m'ont eu terrassée et ligotée, mais savoir que l'un d'entre eux est maintenant à poil et qu'il bande – il vient de le dire – je réalise vraiment que je vais me faire … forcer … que ce type va me … va me violer !

Alors évidemment, je repense à l'équipe de handballeurs blacks qui m'avaient déjà prise de force dans cet hôtel de la Marne. A peu de choses près, ça se passe aujourd'hui de la même manière ! Je sais bien que mon cul attire les mâles, mais pourquoi il attire aussi des violeurs ?

- Tu vas l'enculer à sec ?
- J'vais lui cracher dans la rondelle !
- Attends … tiens-la un peu, moi aussi j'vais m'dessaper !

Ça venait de ma gauche, vers le pied du lit. Le type qui me tenait la cheville m'a lâchée, et un autre m'a agrippé le mollet … sans doute celui qui vient de se déshabiller … le matelas s'est affaissé à ce niveau, comme si on s'y était assis ou agenouillé … et une main s'est délicatement posée à l'intérieur de ma cuisse …
- Regardez ça, les mecs ! C'est pas beau, ça ? Entièrement épilée … et toute bronzée ! On en mangerait ! Il est quand même vachement bien foutu, pour un travelo ! T'as vu ses cuisses ?

De ses doigts rêches, il me palpe, il me pétrit la cuisse … et il remonte vers mon entrejambe. J'essaie de bouger … sans autre résultat que:
- Bouge pas, salope !

Mon esprit tout entier polarisé sur cette main qui a entrepris de m'explorer, mes oreilles captent les bruits que fait le deuxième type en train de se déshabiller. Dans ma tête, un deuxième mec nu, la bite en érection, dressée !

La main qui m'explore est maintenant sur ma fesse … elle me caresse, elle me palpe, elle se glisse sous ma robe …
- Hhmmmm, c'est bien ferme, ça ! T'as vraiment un beau cul, ma salope ! Je sens que ça va être le pied de t'baiser ! C'est con qu'on t'ait pas repérée avant, on serait déjà venus te faire ta fête ! Et c'qu'est con, c'est qu'après nous, quand on te s'ras tous passé d'sus, tu pourras plus servir à rien !


Qu'est-ce que ça veut dire, ça, que je ne pourrais plus servir à rien quand ils me seront passés dessus ?

- Vas-y, mec, c'est bon.

Une claque sur mon cul … le premier type se relève et celui qui vient de se déshabiller reprend sa place.

J'ai peur ! Ce ne sera pas la première fois que je me ferais baiser à la chaîne par plusieurs types. Et d'habitude j'aime ça. Mais cette fois, je me sens en danger. Je sens que ces types-là sont mus par des pulsions sexuelles violentes et que rien ne les arrêtera, ni la morale, ni la crainte des conséquences ! Ils vont me prendre de force, ils vont me pénétrer, ils vont me violer, ils vont me souiller le ventre de leur semence ! Et ensuite ? Et si, comme beaucoup de violeurs, ils avaient l'intention de m'empêcher de parler, de porter plainte, de témoigner … définitivement …

Au fond de moi, quelque chose me dit « Protège-toi. Fais en sorte qu'ils t'épargnent. Puisque ces viols sont inévitables, donne à ces types des raisons de te ménager »

Ceux-là ne m'ont pas demandé la permission, ils n'ont pas cherché à me chauffer, à m'exciter. Non, ils vont me prendre, que je sois d'accord ou pas ! Et à les écouter, j'ai l'impression qu'ils sont d'autant plus excités que, justement, ils vont me contraindre, me prendre de force !

Ça y est, le type s'est agenouillé entre mes mollets, sans doute celui qui s'est déshabillé le premier. J'ai senti le matelas s'affaisser sous son poids. De ses doigts rugueux, il m'écarte les fesses. Le contact de ses doigts sur mon intimité est … à la fois répugnant et … et agréable ! Et je sens quelque chose de tiède me tomber sur la rondelle … sans doute de la salive ! Il l'étale un peu, et soudain, il m'enfonce un doigt dans le cul … son pouce !

Première pénétration ! Premier viol ! Même si ce n'est que son pouce ! Il est entré en moi sans mon assentiment. Mon corps a failli réagir, comme un réflexe conditionné … tellement habitué à se faire pénétrer et à y prendre du plaisir, mon cul a envoyé un signal à mes reins pour qu'ils se cambrent. Mais je prends sur moi pour maîtriser cette réaction.

- Putain, ça rentre tout seul !

Le type se marre:
- Elle a vraiment pas l'trou du cul serré ! Elle doit s'en prendre souvent, d'la bite, c'te pute !

Ben oui, mec, et pas que de la bite. Je me fourre régulièrement des calibres bien plus importants que ton pouce, ducon ! Il a beau me doigter le cul sans délicatesse, il ne me fait pas mal. Ce serait presque agréable si ce n'était pas une pénétration imposée.

Le type m'enfonce son pouce à fond et le fait tourner, un coup vers la droite, un coup vers la gauche.
- J'espère que t'as l'cul propre, hein, grosse salope !

Puis il le fait entrer et sortir quatre ou cinq fois.
- Hé, grosse salope ! T'as l'cul propre, au moins ? On peut y aller tranquille ?

De son autre main, il me claque la fesse:
- Réponds, pétasse ! T'as l'cul propre ?

Qu'est-ce que tu crois ? Que je vais te rassurer ? Te faciliter les choses ? Je ne réponds pas.

Il se marre encore:
- On s'en fout, on verra bien ! Jusque là, j'ai pas l'doigt dans la merde.

Il va me faire quoi, maintenant ? C'est le moment ? Il va me prendre ?
Re: Prise de force
Tuesday 15 October 2024 16:35

Utilisateur anonyme
3ème partie

« Il extrait son pouce … et je sens qu'il pose ses mains sur mes fesses … une main sur chaque fesse … et il me les écarte. Et c'est sa tronche qu'il me colle dans la raie ! Décidément, il y a beaucoup de mecs qui aiment me bouffer le cul ! Je sens … je sens son nez qui s'écrase contre mon coccyx … et il … il pose sa langue sur ma rondelle ! Aaaaaaaah ! Merde ! C'est plus fort que moi, ce mec me fait de l'effet, avec sa langue sur ma rondelle ! Allez, @#$%&, fourre-la moi bien dans le cul, ta langue ! Et oui, je sens qu'il me l'enfonce ! Son menton plaqué contre mon périnée, il introduit cette chose tiède et mouillée en moi … pas profondément, évidemment, mais ça me fait un effet terrible ! C'est comme une petite bestiole, à la fois ferme, chaude et douce, qui s'agite dans ma chatte. J'adore ça, et tout mon corps réagit malgré moi. J'espère qu'ils ne s'en sont pas rendus compte.

Le type sort sa langue, il se redresse un peu et il me remet son pouce.
- Dis donc, grosse salope, j'ai l'impression qu't'aimes ça ! Tu t'ouvres toute seule ! Mais en fait, tu dois avoir le cul propre … tu sens bon le gel douche et la crème solaire.

A nouveau, il bouge son pouce dans mon rectum … mais délicatement, cette fois. Il le tourne, il le fait aller et venir. Et c'est booooon ! Ce type, cette brute me fait ça sans mon consentement, mais c'est tellement booooon ! Je lutte … je lutte pour ne pas réagir … je lutte pour ne pas me cambrer de volupté … je ne veux pas lui faire ce plaisir.

- Alleeeeeez, dis le ! Dis-le qu't'aimes ça ! Dis-le qu'ça t'plaît de t'faire doigter l'cul !
- …
- Non ? Tu veux pas l'dire ? Bon, alors j'vais te r'bouffer l'cul. Ça m'fait bander de t'bouffer l'cul. Il est vraiment bon, ton cul !

Les autres se marrent. Il ôte son pouce et il me remet sa tronche entre les fesses. Cette fois, il agite beaucoup sa langue et je sens qu'il me l'enfonce autant qu'il peut. Je sens la chaleur de son visage contre mes fesses, la tiédeur de sa langue dans mon rectum, et son souffle chaud sur mon périnée et sur mes couilles.

Ce que je sens aussi, c'est que ma rondelle se détend toute seule sous l'effet de sa caresse buccale. Il sait y faire, ce salopard ! Mon rectum ne m'obéit plus, mon rectum aime ce que ce type lui fait, mon rectum se laisse assaillir, investir, fouiller ! Tel une ville assiégée par une horde, qui, pour éviter d'être rasée et brûlée, lui ouvre ses portes, mon cul et tout mon corps ont envie de se donner à cette brute. Mon esprit balance, hésite … d'un côté, il se rebelle à l'idée de ce viol, et de l'autre, il est conscient que seule la collaboration à quoi mon cul et mon corps sont maintenant tout disposés peut m'épargner la violence de ces salauds.

Des idées bizarres, confuses et contradictoires se bousculent dans ma tête. Bien sûr, il y a la peur … la peur que ces ordures ne me brutalisent … voire pire. Il y a aussi une réaction instinctive de répulsion face à cet acte criminel, immoral, dégradant, face à ce viol qu'ils ont l'intention de perpétrer sur moi. Mais, à mon grand étonnement, balayant tout ça, et une fois encore, il y a de la fierté ! Oui, de la fierté, ce plaisir cérébral qui m'envahit chaque fois qu'un mâle manifeste par son érection son désir pour mon cul, son envie de me pénétrer, de me posséder ! Mon cul excite et attire les mâles autant que si j'étais une vraie femelle, et même, dans le cas présent, comme si j'étais une vraie femelle si bien foutue, sexy, bandante et désirable que ces cinq types, soumis à la puissance de leur désir et abandonnant tout scrupule et toute morale, n'hésitent pas à commettre un crime passible des assises !

Comment ne pas être fière de ça ? Comment, même, ne pas être reconnaissante à ces types de prendre de tels risques pour assouvir leur désir ? Et il est tellement évident qu'ils auront d'autant plus de plaisir qu'ils me prendront de force que s'impose soudain à moi l'idée de leur donner satisfaction. Les laisser me violer ! Pas seulement les laisser me baiser avec mon accord, non, les laisser me VIOLER ! Bien évidemment, mon instinct de survie me souffle que je ferais mieux de leur signifier que je suis d'accord pour qu'ils me baisent. Peut-être m'épargneraient-ils ensuite ! Et je suis au bord de le leur faire comprendre, mais l'envie de les sentir jouir d'autant plus intensément qu'ils auront l'impression qu'ils me prennent de force est la plus forte. Je veux sentir l'intensité du plaisir qu'ils prendront à être dans moi contre ma volonté, je veux sentir la violence de leurs orgasmes décuplée par la violence de ces coïts contraints ! Alors, je décide de jouer ce jeu dangereux, quitte à leur faire savoir, plus tard, que je suis consentante.

Mais il me faut me concentrer, il me faut dominer les réactions de mon corps. Il faut qu'ils aient l'impression que je leur résiste. Alors, brusquement, je me débats, je me secoue de droite à gauche et de gauche à droite, du moins autant que la contrainte qu'ils m'imposent me le permet, et je pousse de sourds grondements dans mon bâillon. Ça oblige le type qui me bouffe le cul à sortir sa tête d'entre mes fesses. Il se redresse et il cogne les reins d'un violent coup de poing:
- Tiens-toi tranquille, grosse pute ! Ça sert à rien de t'débattre !

Il m'a fait mal, ce salaud !

- Hé, mec ! L'abîme pas trop quand même ! Et vas-y, encule-le !

C'est venu de celui qui me tient le bras droit, on dirait.

- Nan, nan ! Pas maintenant. Il va se laisser faire ou alors je l'assomme carrément, et comme ça, il bougera plus. T'as compris ? Laisse-toi faire, sale pute, ou alors j't'assomme !

Comme je ne réagis pas, il me claque la fesse:
- Réponds ! T'as compris ? Tu vas t'laisser faire, ou tu préfères que j't'assomme ?

Je hoche la tête en gémissant … "Oui, oui, je vais me laisser faire !". Pourvu qu'il comprenne ! Il ne faut pas qu'il m'assomme, je veux rester consciente.

- C'est bien, ma chérie. Tu vas voir, ça va t'plaire ! Et pis moi, j'préfère qu'tu sentes bien qu'on t'baise, avec mes potes ! J'préfère qu'tu sentes bien not' bite dans ton cul ! J'préfère qu'tu sentes bien quand on va te juter dans l'ventre !

Au matelas qui s'écrase sous son poids, je sens qu'il se réinstalle entre mes cuisses. De nouveau, il m'écarte les fesses, et … il me recolle sa tronche dans la raie … et de nouveau sa langue dans ma rondelle … sa langue et … et l'extrémité d'un doigt … à peine enfoncé, mais qui m'ouvre la chatte … Oh la laaaaaaaa ! Je serre les dents ! Je ne dois pas réagir ! Il ne faut pas qu'il se rende compte que j'aime ce qu'il est en train de me faire ! Je serre les dents et j'essaie aussi de serrer les fesses … mais ça ne sert à rien, de sa main libre il m'écarte la fesse gauche et sa tronche est tout au fond de ma raie ! Hhhhmmm, son menton râpeux sur mon périnée, son nez écrasé sur mon coccyx, son souffle tiède jusque sur le haut de mes cuisses ! Il faut que je me concentre sur autre chose … oui, voilà … où ai-je rangé mon ordinateur et mon appareil photo avant de descendre bronzer dans les dunes ? Il ne faudrait pas qu'ils les trouvent et qu'ils me les volent ! Et les clefs de ma voiture … est-ce que je les ai mises dans le tiroir du buffet ou est-ce que je les avais laissées sur la table ?

Mais il n'y a rien à faire … mon ordi, ma voiture, rien à foutre, après tout ! Par contre, la langue de ce type ! La langue de ce type dans ma chatte ! Oh putaiiiiiiiiiin ! Il m'ouvre, il me lubrifie … il me prépare au coït ! Il me prépare à notre coït à tous les deux … à notre accouplement ! Il me prépare à mes accouplements avec ses quatre complices !

à suivre
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