Il y a quelques années j’avais rendez-vous avec un homme dans la soixantaine qui m’avait indiqué vouloir jouer avec mon corps et plus spécifiquement utiliser différents godemichets pour s’amuser.
A l’heure dite je sonne à l’interphone d’un immeuble moderne en banlieue sud de Paris. La voix qui me répond m’indique l’étage et la porte palière où je suis attendu.
Lorsque je sors de l’ascenseur au quatrième, la porte en question est entrouverte et un homme assez petit l’ouvre à ma venue.
Nous nous serrons la main et il me désigne un couloir où me diriger.
- C’est par ici
Nous arrivons directement dans la chambre où trône un lit style Louis XV entouré d’un ensemble de placards du même style qui monte jusqu’au plafond.
Le traversin assorti au couvre-lit est placé au milieu du lit.
- Déshabille-toi
me dit-il d’un ton ferme
Je m’exécute et une fois nu il me désigne le lit
- Allonge-toi sur le ventre
Du fait de la position du traversin je me retrouve cambré les fesses en l’air, exposant mon anus et mon sexe à ses regards.
Pour l’instant les dialogues ont été on ne peut plus réduits….
Il se dirige vers le placard de droite en regardant depuis le pied du lit, ouvre la porte et en sort une caisse en plastique où je devine rangés ses jouets.
Il s’assoit alors sur le lit et commence à me caresser les fesses, glissant ses doigts dans ma raie pour finir sur mes bourses et ma queue.
Je ne tarde pas à avoir une érection d’autant que ses caresses sont douces et très agréables.
J’ai à peine fini d’apprécier sa douceur qu’une claque s’abat sur mes fesses, suivie de quelques autres, pas très fortes mais suffisamment pour faire le bruit caractéristique de la fessée.
La rougeur de mes fesses devant être à son goût, il passe ensuite à un malaxage en règle sans oublier de bien les écarter pour découvrir mon anus.
Il s'agenouille sur le lit entre mes jambes ce qui a pour effet de m'écarter les cuisses.
Je l’entends fouiller dans sa caisse qu’il a disposée au pied du lit et après le froid d’une noisette de gel je sens qu’il m’enfonce un gode dans l’anus. C’est assez agréable car sa taille est mesurée et il l’enfonce lentement. Une fois bien au fond il commence un lent mouvement de va et vient et en faisant des cercles afin de m’élargir.
- Tu aimes ?
me demande-t-il, je lui réponds
- Oui c’est très agréable
- Tu as un cul de salope qui ne demande qu’à se faire bourrer
Après encore quelques aller-retours, il retire le gode de mes fesses et je l’entends à nouveau fouiller dans sa caisse.
Cette fois c’est un exemplaire un peu plus gros qu’il m’introduit et comme pour le premier il le fait tourner pour élargir mon entrée.
A ce stade je suis vraiment excité car mis à part l’épisode de la fessée tout ce qu’il me fait me ravit.
Lorsqu’il juge le résultat satisfaisant il retire ce jouet et à nouveau il fouille dans sa caisse.
Ouf ! le nouveau jouet est carrément d’une taille au-dessus et il a même eu du mal à entrer. Comprenant qu’il est à la limite il laisse l’engin planté en moi sans bouger le temps que je m’habitue.
Je me détends.
Pchitt, pchitt, pchitt, pchitt ! sur le coup je ne comprends pas mais ce qui se passe dans mon ventre me ramène vite aux réalités : ce gode est gonflable et il vient de presser la poire à quatre reprises pour qu’il augmente de volume.
Je cherche de l’air, mon sphincter est littéralement distendu et je pousse un gémissement.
- Ah, ah! ricane-t-il, tu es bien rempli n’est-ce-pas ?
Il cherche dans sa caisse et en ressort un collier de chien qu’il vient m’attacher autour du cou. Il y fixe ensuite une laisse en cuir et me dit :
- Lève-toi !
Il me tire ensuite en-dehors de la chambre et nous prenons le couloir jusqu’à son séjour. C’est une grande pièce baignée de lumière, tout un côté étant occupé par des baies vitrées donnant sur un balcon, un canapé trône au milieu et un bar dans un coin.
J’ai un peu de mal à marcher car le gode gonflable est toujours planté dans mon anus et la poire avec son tuyau bat contre mes cuisses à chaque pas.
Arrivé au milieu du salon, il passe derrière moi avec la laisse, fait passer la poire et le tuyau dans la poignée de la laisse ; ce qui fait que cela me fait une sorte de queue ridicule qui se redresse et dans le même temps cela produit un effort sur le gode qui appuie sur ma prostate.
Il s’assoit alors dans son canapé et s’amuse à me faire aller et venir nu ainsi harnaché d’un bout à l’autre de la pièce par des itinéraires différents.
Ma démarche est toujours aussi gauche.
Je ne sais pas s’il y a du monde qui regarde dans l’immeuble en face, mais étant donné que les voilages de ses baies vitrées sont formés de filets à maille très-très larges, il doit profiter du spectacle.
Après avoir épuisé tous les trajets possibles il me les fait recommencer à quatre pattes cette fois. Dans cette position l’appui du gode sur ma paroi interne est encore plus marqué.
A la fin il me demande de me relever et m’indique un des deux tabourets de bar :
- Assieds-toi, que veux-tu boire ?
- Si tu as un soda ce sera avec plaisir
Le fait de m’asseoir a pour conséquence d’enfonce le gode un peu plus profondément en moi ce qui m’arrache un petit cri.
Nous buvons tout en discutant de choses et d’autres. Enfin quand nous avons fini il reprend la laisse et me ramène dans la chambre.
- Allonge-toi
Je me remets donc dans ma position initiale. Il me caresse à nouveau les fesses, tire un peu sur mon sexe et au bout de quelques instants il dégonfle enfin son gode et le retire de mon anus très facilement.
Ce dernier doit être béant car je ressens l’air frais qui me pénètre.
- Tu peux te rhabiller
me dit-il
Une fois cela fait il me raccompagne à la porte, me serre la main et me dit :
- J’espère que tu as aimé, moi je me suis bien amusé. À bientôt.
