Cet été lors des grandes chaleurs j’ai été invité par un homme à un après-midi naturiste en toute convivialité.
Je trouvais l’idée séduisante de me débarrasser de mes vêtements et de passer ainsi un moment agréable.
A l’heure dite je sonnais à sa porte. Il m’ouvrit, il était uniquement vêtu d’un T-shirt et après s’être dit bonjour, il me mena à la salle de bains et me dit :
- Mets-toi à l’aise, je vais au salon
Je me déshabillai et mis les tongs que j’avais apportées avec moi.
Je sortis nu et le rejoignis au salon où il avait retiré son T-shirt. Nous nous dirigeâmes alors nus vers sa terrasse baignée de lumière.
Un salon de jardin composé de deux canapés en matériau tressé disposés à angle droit et une table basse était disposé là, abrité par un store banne et des parasols. Elle était très vaste et nous étions ainsi abrités des rayons du soleil.
Il n’y avait aucun vis-à-vis et la vue donnait sur une vaste forêt.
Nous nous assîmes chacun sur un canapé au niveau de l’angle. Il partit chercher des rafraîchissements et nous entamâmes une conversation des plus ordinaires tout en profitant de la chaleur ambiante.
Je remarquai cependant que son regard revenait souvent vers mon bas-ventre, il faut dire que je suis épilé et que rien n’est caché.
Au bout d’un moment, sa main se posa le plus naturellement du monde sur mon genou. Je ne bougeai pas et la laissai ainsi. Prenant cette attitude pour une acceptation (et c’en était une), sa main remonta sur ma cuisse en une caresse très légère.
Arrivée à l’aine, elle se posa sur mon sexe et son contact fit que ma queue commença à durcir légèrement.
Il continua sa caresse jusqu’à ce que mon érection devienne plus franche, ce qui eut pour effet de redresser ma queue contre mon ventre et dégager ainsi mes bourses à sa vue. Il les caressa également et descendit un doigt vers mon périnée. Tel que j’étais assis il ne pouvait pas aller beaucoup plus loin, bloqué par l’assise du canapé.
J’avançai alors mon bassin vers le bord, dégageant ainsi mon anus. Il ne se fit pas prier pour venir le caresser gentiment avec son doigt.
La sensation était très agréable et je me sentais de mieux en mieux. Je fermais alors les yeux.
Il se leva alors en me disant :
- Attends, je vais chercher quelque chose
Il revint au bout d’une à deux minutes avec un godemichet réaliste relié à un petit boîtier par un fil. Pendant sa très courte absence mon pénis avait un peu molli et il lui redonna de la vigueur avec une petite caresse. Il posa le gode à côté de ma queue, il avait très exactement la même taille que mon sexe. Il actionna alors le bouton du boîtier et le gode se mit à vibrer. Il entreprit alors de me caresser avec, ce qui pour effet de consolider mon érection et de me procurer des sensations exquises. Il faisait des aller-retours entre ma queue et mes bourses, je ne savais plus vraiment où j’en étais.
Puis il descendit, plaça le gode contre ma rondelle et l’enfonça doucement dans mon anus tout en le laissant vibrer. C’était sublime et je posai un pied sur le bras de l’autre canapé et l’autre pied sur la table basse pour bien m’ouvrir à cette pénétration.
Il s’amusait vraiment à entrer et sortir le gode en faisant varier les temps dedans et dehors, l’intensité des vibrations et moi de mon côté je prenais un pied terrible.
- Tu aimes ! si tu veux j’en ai un autre qui devrait te plaire
Il se leva à nouveau sans attendre ma réponse en laissant son jouet planté en moi et revint avec un autre engin.
- Celui-là ne vibre pas
Peut-être mais d’une part il était un peu plus gros que le précédent, plus veiné mais d’autre part il était surtout plus long. Il devait faire au moins 25 cm…
Il retira le gode vibrant, mit un peu de gel sur le nouveau et le présenta devant mon anus. Il lui fit pénétrer deux à trois centimètres et attendit un peu pour voir ma réaction.
Pour l’instant ça allait. Il faut dire que j’étais très excité par ce qui s’était passé avant. Ne décelant pas de rejet il entreprit de pousser doucement et de rentrer lentement mais sûrement cette tige en moi. Au bout de quelques secondes je lui demandai d’arrêter car je ressentais une petite douleur dans le ventre, je pense que l’extrémité du gode devait être en butée quelque part. il en avait cependant rentré plus de vingt centimètres.
Il entama des mouvements de va et vient qui me donnaient la sensation à chaque aller d’avoir le ventre rempli.
Le gode coulissait en moi facilement grâce au gel lubrifiant et au fait que j’y prenais énormément de plaisir.
Mon complice dut juger que j’étais prêt pour une nouvelle expérience car il me convia à le suivre à l’intérieur de son appartement jusqu’à sa chambre.
Il enfila alors un gode-ceinture noir (vu la taille, la couleur était bien choisie) et creux dans lequel il enfila son propre sexe. L’engin devait faire dans les cinq centimètres de diamètre pour au moins vingt de long.
- Mets toi à quatre pattes sur le lit
Je m’exécutais. Il enfila un préservatif sur le gode, y mit du gel et en présenta l’extrémité contre mon anus. Il me dit alors :
- Empale-toi à ta convenance
Je reculai alors mes fesses vers lui qui était resté debout au pied du lit. Je dois dire que je m’attendais à plus de difficultés mais la pénétration se fit assez facilement ; il faut dire que j’y allais très lentement.
- Waouhh tu as tout pris !
Me dit-il une fois que je touchai son ventre.
- Écarte tes fesses !
Je les pris alors avec mes mains pour les écarter, ce qui eut pour effet de me faire reposer sur la tête les fesses en l’air. Il posa ses mains sur mes épaules et tira vers lui, gagnant ainsi encore un ou deux centimètres sur la pénétration. Ses mains descendirent alors sur mon dos en me caressant jusque sur mes hanches. Elles s’agrippèrent à ma taille et me tenant fermement il commença à me buriner vigoureusement.
Non content de m’asséner des coups de boutoir énergiques il faisait varier l’angle de pénétration et faisait tourner son bassin afin de m’élargir au maximum.
Il ponctuait ses assauts de Han ! de bûcheron et les agrémentait de commentaires excitants du genre :
- Tiens salope,
- Tu as un cul de femme,
- Petite putain,
- J’adore ton cul,
- C’est bon de t’enculer,
- Etc..
Après environ un quart d’heure de ce traitement, bien que sa chambre soit climatisée, nous étions tous les deux en sueur.
Il se retira et je tombais à plat ventre sur le lit, épuisé. Il glissa une main entre le lit et mon ventre et ramena mon sexe pour qu’il apparaisse entre mes cuisses. Il le caressa un peu.
Il me demanda à nouveau :
- Écarte tes fesses !
Ce que je fis sans discuter. Il prit alors son smartphone qu’il avait posé sur un trépied pendant toute la séance pour filmer nos ébats et photographia mon anus martyrisé en gros plan.
- Tu es bien ouvert, tu as vraiment un très joli cul.
Après nous être reposés un instant il m’invita à venir le rejoindre devant son ordinateur où il transférait les images de son smartphone vers son disque dur.
A ma demande il jeta quelques séquences ou photos.
Il me fit asseoir sur son fauteuil qui ressemblait à un siège de voiture de course après avoir au préalable disposé sur l’assise le gode vibrant du premier épisode sur lequel il m’empala. Je dois dire que je ne sentais plus vraiment grand-chose étant donné l’ouverture de mon anus, mais quand il mit les vibrations en route, une douce chaleur m’envahit de nouveau. Il plaça un casque sur mes oreilles diffusant de la musique relaxante et mit en lecture en boucle les séquences vidéo de nos ébats.
J’eus à nouveau une érection car je voyais sous tous les angles et de l’extérieur cette pénétration et tous ces mouvements que j’avais ressentis.
Comme il était assis à côté de moi il prit mon sexe dans sa main et commença à me masturber.
La conjonction de ses caresses, de la vision des vidéos et des vibrations du gode fit que je ne mis pas très longtemps à jouir.
Après un brin de toilette dans la salle de bains, je me rhabillai et prit congé de mon hôte et nous convînmes de renouveler ce type d’après-midi.
