médecin pervers - épisode 3

Eh bien, en route pour ma troisième visite chez ce médecin un peu particulier…

Comme les deux premières fois, le cérémonial d’entrée fut le même. Accueil en civil, direction la salle d’attente puis invitation à entrer dans le cabinet une fois sa blouse revêtue.

Une fois assis j’eus à nouveau à répondre au questionnaire médical, mes antécédents, le but de ma visite, etc.

- Bien, vous venez pour une visite de contrôle,
me dit-il,
- Eh bien nous allons voir ça…
- Mettez-vous en slip et asseyez vous sur le lit, je vais vous ausculter

Je m’exécutai et vint m’asseoir sur le rebord du lit d’examen. Il chaussa son stéthoscope et le promena sur mon torse et mon dos. Il reposa son instrument et me dit :
- Allongez-vous je vais prendre votre tension

J’obéis et il vint passer autour de mon bras son tensiomètre, une fois cela fait il le retira de mon bras et se dirigea vers sa desserte pour le reposer. Il revint vers moi en se dirigeant vers la tête du lit et se posta derrière moi. Il posa alors ses mains sur mes têtons en une caresse très légère et commença à jouer avec. Ils commencèrent à pointer et durcir et pour tout dire ce n’était pas le seul endroit qui réagissait.
Il le remarqua également et d’un air légèrement narquois me dit :
- Hmmm, vous êtes sensible, cela bouge là-bas…

Il se dirigea vers le côté du lit et comme je portais un boxer à ouverture horizontale (HOM HO1, pub gratuite), il glissa sa main dans l’ouverture et sortit ma queue par celle-ci.

Il revint derrière moi et reprit ses caresses. Mon sexe n’était plus contraint par le tissu, mon érection devint plus franche.

Sur le même ton que précédemment il dit :
- Hmmm, vous mouillez, vraiment très sensible…

Il abandonna enfin son petit jeu et dit :
- Descendez, je vais vous faire une palpation,

Je descendis du lit pendant qu’il prenait un tabouret et s’asseyait dessus. Il m’invita à m’approcher, glissa ses mains sous l’élastique de mon boxer et le descendit jusqu’à mi-cuisse sans oublier au préalable d’avoir remis mon sexe à l’intérieur car sinon il empêchait la descente.
- Vous vous êtes rasé ?
Me demanda-t-il, je lui répondis :
- Pas spécialement, je suis toujours épilé

Contrairement aux fois précédentes où il me faisait tenir face à lui, il me fit mettre de biais pour me palper les bourses. Par contre il aimait toujours autant jouer avec et il s’y attarda longuement. A plusieurs reprises il laissa sa main gauche se poser sur ma fesse droite et la caressa sans omettre de glisser ses doigts dans ma raie.

Une fois cet épisode passé, il fit glisser mon boxer jusqu’à mes pieds et me demanda de remonter m’allonger sur le lit d’examen. Ce que je fis après avoir au passage ramassé mon sous-vêtement et l’avoir posé sur mes autres habits sur ma chaise.

J’étais donc allongé nu sur le lit. Il enfila un gant de chirurgien, y mit une noisette de gel sur l’index et me demanda d’écarter les jambes. Il vint ensuite se placer entre elles, posa son doigt contre mon anus et l’enfonça doucement en moi.

Une fois son doigt bien au fond il commença à l’agiter dans tous les sens, posant sa main gauche sur mon ventre pour me maintenir pendant qu’il me fouillait.

Après quelques minutes de ce traitement il retira son doigt, son gant et repartit vers sa desserte. Il en revint avec le sex-toy du premier épisode qu’il coiffa d’un préservatif.

Il le positionna devant mon petit trou et me pénétra avec sans avoir au préalable oublié de le mettre en position vibreur. Les sensations étaient toujours aussi agréables et ce fut décuplé lorsqu’il posa sur mon sexe son autre petit vibreur champignon rouge.

Mais cela ne dura pas très longtemps et le petit vibreur fut, trop vite à mon goût, retiré. Par contre le sex-toy continuait de vibrer en moi.

Soudain je ressentis une sensation étrange qui me fit sursauter. Quelque chose se promenait sur mon sexe et m’occasionnait de petites piqures qui bougeaient.

J’ouvris les yeux et vis qu’il promenait sur ma queue, mes bourses et mon périnée une roulette de Wartenberg (pour vous éviter d’aller voir sur Wikipédia, il s’agit une roulette munie de piquants qui se trouve au bout d’un manche, voir l'image jointe).

Bien sûr il n’appuyait pas et la promenait très doucement, la sensation était géniale. De petites piqures excitaient à tour de rôle toutes mes terminaisons nerveuses, j’avais à peine commencé à ressentir quelque chose à un endroit que ça recommençait à côté.

Parfois il abandonnait mon sexe pour la promener sur mes têtons.

Je gémissais, plutôt je râlais de plaisir, je fermai les yeux pour m’abandonner à ce tourbillon.

Je les rouvris bientôt car cette fois j’avais senti quelque chose de froid qui me pénétrait l’urètre. Ce médecin diabolique m’avait enfoncé d’un bon centimètre un thermomètre dans le méat.
Avec un sourire il me dit :
- Il faut lui prendre sa température…

Après quelques instants il le retira ainsi que le sex-toy. Il se dirigea à nouveau vers sa desserte et en revint avec un gros godemichet, je dirais une bonne vingtaine de centimètres de long sur quatre un cinq de diamètre.
Je ne sais pas si c’était le même que celui qui n’avait pas pu entre lors du premier épisode, il me paraissait moins gros mais il était cependant très impressionnant. Je ne pus d’ailleurs m’empêcher de lui dire :
- Il est énorme, ça ne rentrera jamais
Il me répondit :
- On va bien voir, s’il ne rentre pas on essaiera autre chose, par contre il ne vibre pas.
Comme précédemment, il lui enfila un préservatif, y mit une bonne dose de gel et le présenta devant mon anus et poussa lentement mais fermement. Je sentais mes chairs qui s’écartaient difficilement et cet objet qui me remplissait inexorablement.

La poussée s’arrêta et je lui demandai :
- Vous en avez rentré combien ?
- J’ai tout mis
Me répondit-il, je n’en revenais pas.

Il commença alors, comme il l’avait fait pour son doigt en début de séance à l’agiter dans tous les sens, d’avant en arrière, de haut en bas, de droite à gauche. Il voulait de toute évidence m’élargir au maximum. Par moments je sentais le gode qui arrivait en butée au fond de mon ventre, m’occasionnant une légère douleur.

Pendant qu’il me fouillait allègrement, avec son autre main, il jouait avec ma queue, faisant coulisser mon prépuce de bas en haut et
caressant mon frein avec son pouce dans des mouvements circulaires.

Il m’était de plus en plus difficile de me retenir et plusieurs fois je lui fit signe avec la main d’arrêter. Il stoppait alors ses caresses sur ma queue mais continuait à agiter son gode.
A la quatrième ou cinquième sollicitation de ma part, je ne me souviens plus très bien, il continua malgré tout ses caresses. J’en déduisis qu’il voulait me voir jouir. Je m’abandonnai alors et fus secoué de longs spasmes alors que j’éjaculais en longs jets.

Pendant toute ma jouissance il laissa sa main sur ma queue et lorsque je fus enfin calmé il me sourit en me disant :
- Belle éjaculation ça ne voulait plus s’arrêter !
Pas étonnant vu le traitement qu’il avait infligé à ma prostate.

Il me tendit un rouleau de papier essuie-mains, me demanda comme à son habitude si je voulais prendre une douche, offre que je déclinai.
Je me rhabillai, il me raccompagna jusqu’à la porte et nous convînmes de renouveler un de ces jours.

Hummm, merci pour ce récit très excitant

J'aime bien je fantasme aussi sur la visite médicale. J'aimerais trop en faire une réaliste mais perverse en même temps

Magnifique expérience ! Je crois connaître ce médecin à la retraite

dommage que ce genre de médecin n'existe pas sur lyon, j'irais le voir très souvent,

@npng

Je ne pense pas car:
il n'est pas dans ta région
il n'est pas à la retraite

bises



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/02/25 11:01 par alapat91.

Intéressant !
Alors ils sont plusieurs

Moi qui suis du 91 je veux bien ses coordonnées

Tu vas sur DOCTOLIB, tu tappes "médecin pervers dans le 91" et tu vois la réponse